Par la fenêtre
Le paysage défile...
Se laisser aller
S'éloigner
Chavirer
Une envolée d'oiseaux noirs s'échappent d'un arbre
Qui disparaît aussi
Une ferme isolée
Une forêt muette
Des pensées furtives
La sensation d'une immensité
La sensation de s'y perdre
Mon reflet dans la vitre me ramène à moi
Je suis bien là
Vaciller pourtant
Sans bouger
Ne pas se ressaisir
S'abandonner...
L'immobilité du dehors qui s'enfuit me ressemble
il fait froid dans ces mots...
RépondreSupprimertous mes retours sur Bourges sont dans tes mots !
RépondreSupprimerwonderful
RépondreSupprimerDélicat & subtile... tout ce que j'aime:)
RépondreSupprimerquel joli blog....
RépondreSupprimermerci pour votre petit mot chez moi, je suis ravie d'être arrivée juqu'ici!
à bientôt