31/01/2014

*Déballer* #4




















Déballage de bibliothèque à la manière de Pas la peine de crier, la suite.
J'avais envie de vous parler de Christian Oster. Si j'ai un peu tardé, c'est que je ne retrouvais pas le titre dont je voulais vous lire un extrait. Alors je l'ai racheté. Et je l'ai relu. Et je l'ai encore beaucoup apprécié ressenti aimé ri.

J'aime cette écriture, ces phrases infinies qui sont comme une exploration des méandres de nos pensées parfois si compliquées pour presque rien. Ou presque tout.
J'aurais voulu vous lire la page 18, la 53, la 62, la 63, la 64, la 66, la 74, la 86, la 103, la 114, la 115, la 116, la 117, la 148, la 149....

Je vous lis finalement cet extrait-là.
Et puis non, à 00h47 vendredi soir, je change d'extrait. Pardon. Indécise toujours.
Dans le train, Christian Oster.













Je crois que je vais bientôt prendre un train.
Mais en attendant, Marie Richeux me rappelle de choisir un morceau de musique pour poursuivre cette lecture.
Et je choisis ça.  (Un peu hésité aussi avec la 7 ou la 10. Pour ceux qui suivent le fil tordu de ce blog.)

2 commentaires:

little a dit…

hihi ca me parle... c'est tellement vrai, la difficulté de l'autre parfois, même au lit ^^
je t'ai tagué doux papillon si le coeur t'en dit...

Pascale a dit…

La difficulté des choix...
Pffffff...