A les regarder sous la bruine, dans la nuit, les cheveux fous sous les feuilles endormies
A les regarder sur le pont, dans l'après-midi, les yeux étirés par le contre-jour, la bouche ourlée par la douceur des joues
A les regarder devant les entrelacs du mur gris, dans la lumière bleue, les mains mêlées au lierre désormais disparu
A les regarder les épaules liées les secrets déliés les pieds échangés et le même refrain
C'est moi que j'ai vue
C'est décidé
Je continue
De m'inventer
1 commentaire:
Oh, oui, oui, oui.......
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